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Clémence HENRI

Clémence Henri étudiante-entrepreneure à l’Université de Strasbourg, créatrice et cheffe du projet MIKROSILER. 

En 3ème année de licence Science de la Terre, de l’Univers et de l’environnement à l’EOST.

 

 « Pour ma part, mêler les sciences pures à l’aspect plus technique de l’ingénierie est ce qui me correspond et me passionne. Les différents concours et projets élaborés dans le passé, dans ces domaines, m'ont fait y prendre goût.

Fin Terminale j’ai choisi cette licence pour comprendre le fonctionnement et les relations de cause à effet qui régissent dans notre environnement, car mieux le comprendre, c’est pouvoir l’inclure de façon optimale dans chacun de mes projets futurs. 

Sans aucune matière de prédilection au premier abord, certaines m’ont très vite intéressées, je pense notamment à l’hydrogéologie, l’hydrodynamique ou encore l’étude du climat et du sol, de ces transferts et de ces cycles chimiques. Mon intérêt pour l’eau au sens large a toujours été présent, à la fois ressource indispensable et précieuse, les problèmes autour de celle-ci sont nombreux et ne cessent d’être alarmants. 

Concernant les microplastiques, depuis quelques années, les articles, les recherches, les mises en garde autour d’eux ne cessent de grandir. Une « nouvelle » source de pollution inquiétante qui mérite qu’on s’y attarde. Ainsi est né MIKROSILER.

 

En tant qu’étudiante, apprendre, raisonner, mettre en pratique est ce qui m'enrichit un peu plus chaque jour. Mais monter un projet de toutes pièces c’est s’enrichir en agissant et c’est aussi, dans le cas du MIKROSILER, l’occasion d'allier l’innovation à la cause environnementale. En effet, porter de l’imagination à la finalisation, une idée de projet est quelque chose qui me permet de me surpasser mais aussi, de mettre un premier pied dans le monde professionnel. Chaque aspect du projet rend cette expérience enrichissante et motivante. 

D'autre part, la part environnementale de ce projet est quelque chose qui me tient à cœur. Nous sommes une génération charnière vis-à-vis des conséquences de la pollution, du changement climatique. Même s’il est impossible de faire marche arrière, il nous reste encore la possibilité d'agir individuellement pour ralentir les effets. Pour toutes ces raisons, j'éprouve une réelle motivation de mener à terme ce projet.

 

Mais un projet ne se monte pas seul. C’est pour cela qu’il m’a paru évident de m’entourer d’une équipe de personnes motivées, prêt à relever le défi. Nous sommes donc une grande équipe de 7 étudiants et amis a interagirent dans ce projet, la plupart uniquement dans l’association et 4 d’entre-nous dans l'association et dans le projet technique et entrepreneurial. L’association MIKROSILER à pour seuls buts de sensibiliser nos lecteurs à des sujets environnementaux mais aussi de leur permettre de suivre les avancées du projet MIKROSILER. 

 

Dans le projet technique et entrepreneuriale, je suis curieuse de tout, je ne souhaite pas me limiter à une seule tâche ou domaine, alors je travaille à la fois sur la conception du système, sur le choix des matériaux, les tests au préalable mais aussi sur la partie entrepreneuriale, un partie, qui je l’avoue, est plus abstraite pour ma part mais pour laquelle je ne demande qu’à apprendre. »

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